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L'islam des Féministes


Khadija

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As salam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakathou Cher Messager d'Allah Hicham,

Mes Chers Frères et Sœurs,

 

pour rester dans les aberrations, voici un autre fait " de société " : L'Islam des Féministes !

... Je crois qu'on touche le fond ! ...

 

 

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il y a 7 minutes, Khadija a dit :

As salam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakathou Cher Messager d'Allah Hicham,

Mes Chers Frères et Sœurs,

 

pour rester dans les aberrations, voici un autre fait " de société " : L'Islam des Féministes !

... Je crois qu'on touche le fond ! ...

 

 

 

Salam alaykoum,

 

merci pour cette vidéo, c'est fou.

 

Et, merci beaucoup Prophète de Dieu ( swt ), juste une question, je ne comprend pas pourquoi les gens croient tous ces imams quand ils leurs disent que tout va bien chez nous, tout est rose, alors que l'on est plus bas que terre ? La preuve par cette vidéo qui montre a quel point on est méprisé et insulté par tous les diables du monde entier. N'ont-ils aucune fierté ? ne veulent-ils pas faire rayonner la Gloire de Dieu ( swt ) à travers eux ?

 

Que Dieu ( swt ) vous bénisse tous.

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As salam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakathou Noble Prophète d'Allah Hicham, 

Mes Chers Frères et Sœurs, 

 

Cette femme qui se revendique première imame de France, m'a navré, et aussi j'ai voulu savoir sur quoi elle s'appuyait pour légitimer son statut.

Voici le lien de son site, où elle fait tout son exposé sur le sujet. Elle prétend même que Marie aurait été une Prophètesse...

 

https://www.lescahiersdelislam.fr/Et-si-la-bid-a-1-etait-d-interdire-l-imamat-de-la-femme_a1834.html

 

Je n'ai mis ci-dessous que le passage qui expose la justification de sa légitimité ! 

Elle se réfère à Ibn Arabi, qui n'est pas une référence en termes de Fiq.

J'ai mis un passage du texte en bleu, pour indiquer sur quels versets elle s'appuie, ainsi que l'interprétation qu'elle en donne.

 

Bien sûr,  Cher Messager de Dieu,  je voulais que vous réagissiez sur ces points : 

Est ce que Marie était prophétesse et image, comme elle le prétend ? 

 

La prophétie et l’imamat de la femme

Et si la bid‘a [1] était d’interdire l’imamat de la femme ?

Ibn ‘Arabî, dans son ouvrage al-Futûhât al-Makkiyya (Les illuminations spirituelles de la Mecque) traite de la question du ministère religieux féminin. En très bon connaisseur du Fiqh, il cite les différents avis juridiques des savants musulmans en indiquant que parmi eux, il y en a trois. Un courant considère l’imamat des femmes interdit de manière absolue, un autre l’autorise mais seulement pour diriger la prière d’un public exclusivement féminin et, enfin, le troisième avis que le maître revendique pour lui-même, considère que l’imamat de la femme est valide de manière absolue devant une assemblée de femmes et d’hommes. Pour appuyer sa position, le Maître cite le fait que le prophète a attesté que certaines femmes ont atteint la réalisation spirituelle comme il l’a attesté pour certains hommes. Cette réalisation s’opère sur le plan ontologique, aussi, elle représente pour Ibn ‘Arabî, la nubuwwa - prophétie - et celle-ci est pour lui équivalente à l’imamat. Autrement dit, la prophétie et l’imamat sont, d’un point de vue symbolique, des fonctions semblables sur le plan spirituel, à travers lesquelles s’exerce le ministère religieux. Elles procèdent de l’aspiration de l’Etre à sa réalisation et, à partir du moment où la femme peut potentiellement atteindre ce haut degré d’accomplissement - c’est le cas de la prophétie de Marie dans le Coran -, elle peut exercer la fonction d’imam. Pour Ibn ‘Arabî, l’imamat de la femme est non seulement valide mais cette validité constitue le principe [22].

Pour fonder sa position le Maître rappelle d’abord qu’il n’y a aucun texte qui interdit le ministère religieux féminin. Ensuite, il s’appuie sur des arguments métaphysiques et mystiques pour aboutir à un avis opérant dans le domaine des actes concrets de la vie humaine et qui relève du domaine jurisprudentiel. Le lien entre le macrocosme et le microcosme, et leur position en miroir l’un par rapport à l’autre, est une idée récurrente dans la pensée d’Ibn ‘Arabî ; il considère que l’être humain concentre en lui la totalité de l’univers si bien qu’il en est, pour ainsi dire, la copie abrégée, car les mêmes lois gouvernent l’un et l’autre. Au chapitre 99 des Futûḥât, qui traite de la prière et de ses secrets, il écrit : « Sache que l’être humain est un grand univers en lui-même du point de vue du sens, même s’il est petit par sa taille, c’est pour cette raison qu’il est dit dans le Coran : « C’est Toi que nous adorons » [23] à la forme plurielle et il a mis ses membres, ses sens et ses forces apparentes et cachées sous l’autorité de ce qui les précède/ce qui prime et il s’agit de : sa raison (al-‘aql), son âme (al-nafs) et ses passions (al-hawâ). Chacun d’entre eux peut guider/diriger (le mot utilisé ici est le mot ya’umm qui vient du mot imâm) à un moment ou un autre, la communauté des attributs. Cette communauté à laquelle le Maître fait référence est la communauté des membres constituant un individu humain, ses sens et ses forces apparentes et cachées qu’il a citées plus haut. Il poursuit : « Les actes de dévotions procèdent de la raison, les actes permis proviennent de l’âme et les actes de transgression sont le produit du hawâ ou des passions primaires. Il a été édicté à la raison ce qui suit : si l’âme se lasse de se soumettre à ton autorité et de te suivre dans les actes qui rapprochent (de Dieu) durant la période où tu es le guide (ta’umm) et elle a pris le devant dans le domaine des actes permis et que c’est elle qui a pris le rôle du guide sur toi (‘ammat bika) alors suit là et garde le lien derrière elle afin de la préserver et qu’elle ne soit pas entrainée par ses passions, car ces dernières la suivent dans ce cas, afin de la faire tomber dans le péché. Dans ce cas de figure, la guidance de l’âme est valide et c’est l’imamat de la femme » [24]. Ainsi, Ibn ‘Arabî établit une analogie entre l’âme et la femme qui relève du principe féminin et l’homme et la raison qui relèvent selon lui, du principe masculin. Il compare également les différentes composantes de la personne humaine constituées de toutes ses facultés, forces physiques et intellectuelles, de ses différents membres corporels, à un ensemble d’individus composant une communauté humaine. Pour lui, ces deux entités sont dirigées à un moment ou un autre, soit par la rationalité, soit par la sagesse ou, dans le pire des cas, par ses viles passions. Autrement dit, à l’échelle de l’individu humain, celui-ci est gouverné tantôt par la raison tantôt par l’âme et, à l’échelle d’un groupe humain, ces deux polarités sont représentées par une personne du genre masculin et une personne du genre féminin. Ibn ‘Arabî dit au genre masculin, qu’il assimile à la raison, de céder la gouvernance à la sagesse du genre féminin lorsque vient le moment où celle-ci prend les rennes pour accomplir les actes permis, afin de prémunir la communauté et la protéger des actes blâmables. Il affirme : « suis-là », sinon elle risquerait d’être entrainée, avec l’ensemble des composantes de l’individu humain et donc, par analogie sur le plan extérieur du macrocosme, l’humanité ou la communauté des croyants, par ses passions et de tomber dans l’illicite. C’est, en effet, la complémentarité entre la raison et l’âme, le masculin et le féminin comme principe premier dans la gestion de la vie dans le cosmos, qui est mise en avant. Ce texte d’Ibn ‘Arabî fait une analogie avec le verset coranique qui décrit la relation de couple et ce que l’homme et la femme représentent l’un pour l’autre comme protection et couverture : « Elles sont un vêtement pour vous et vous êtes un vêtement pour elles » [25]. Les deux membres du couple sont mis dans un parallélisme parfait et chacun couvre la fragilité, la défaillance ou l’absence de l’autre ; il prend le relais pour diriger et poursuivre la direction de l’activité commune. Ainsi, il est tout à fait naturel que la communauté religieuse soit guidée en alternance par un homme et une femme qui sont un soutien l’un pour l’autre dans tous les domaines de la vie, y compris religieux.
 

 

Et si la bid‘a [1] était d’interdire l’imamat de la femme ?
Ibn ‘Arabî est loin d’être le seul à avoir abordé la question de la prophétie féminine et d’en avoir pris appui pour affirmer la validité de l’imamat de la femme. On trouve, en effet, dans divers ouvrages de théologie musulmane, des positions similaires à travers l’étude de la figure mariale dans le texte coranique. Marie recèle une valeur théologique de très haute importance à ce sujet. L’examen de l’exégèse des versets coraniques qui lui sont consacrés montre qu’elle est l’exemple paradigmatique de la condition humaine, au-delà de toute distinction de genre, et lui confère une envergure prophétique. La Vierge est incluse dans une séquence des prophètes cités dans la sourate Les prophètes [26], où son nom se retrouve parmi ceux d’Abraham, Moïse, Jacob, Isaac, Loth, Aaron, etc. Les commentateurs du Livre Saint ont été confrontés à la problématique de savoir si la dignité prophétique peut être attribuée à la Vierge Marie alors qu’elle est une femme ? Parmi eux Alûsî (m. 1270/1854) qui a définitivement conclu, dans son ouvrage Rūḥ al-Maʿānī, à la prophétie de Marie en s’appuyant sur l’argument qu’elle est citée près d’eux (les prophètes) au genre masculin [27].
Ida Zilio-Grandi, de l’Université de Venise, analyse l’attribution d’un masculin spirituel à Marie qui va de paire avec la prophétie, dans la littérature exégétique musulmane des XIIe , XIIIe et XIXe siècles, aboutissant à des positions doctrinale attribuant à Marie le plus haut degré de réalisation spirituelle dans la mystique musulmane, à savoir la prophétie. D’abord, le verset « De même, Marie… Elle avait déclaré véridiques les paroles de son Seigneur ainsi que Ses livres : elle fut parmi les dévoués » [28]. Al-Qurṭubī (m. 671/1272) fait remarquer que le mot « les dévoués » est ici au masculin, Dieu aurait pu employer le féminin « al-qânitât » - les dévouées ou les dévotes - mais, par la dévotion de Marie au masculin, Il fait référence à celle de tous ses proches et Marie est érigée en figure représentante de toute sa lignée ascendante, qu’elle soit féminine ou masculine. Al-Râzî comprend l’emploi du masculin, pour Marie, dans un mode extensif au peuple duquel elle est descendante et qu’elle représente. Pour al-Âlûsî : « Le partitif indique que Marie faisait partie des dévots, le masculin donne plus de force au sens et l'information que Dieu veut enfin donner est que l'obéissance de Marie ne fut pas inférieure à celle des hommes, au point d'être incluse parmi eux » [29].

Le verset 43 de la sourate « La famille d’Imran » a également été beaucoup commentée. Il concerne le comportement prescrit à Marie par son Seigneur durant la prière : « Marie soit dévotieuse à ton Seigneur, incline-toi et prosterne-toi avec les prosternants (ma‘a al-Râki‘în) ». Dans ce verset, le texte coranique mentionne au masculin « ceux qui se prosternent » - al-Râki‘în - et non pas au féminin « celles qui se prosternent » - al-Râki‘ât. Al-Qurṭubī a vu ici un ordre relatif à la prière en commun des hommes et des femmes et Râzî le comprend comme étant un ordre venant de Dieu demandant à Marie d’accomplir la prière avec les hommes, ce qui signifie : fais comme ils font, prie à Jérusalem avec tes voisins, et ne te distingue pas d'eux... L’exégète comprend ce verset coranique comme une injonction de Dieu à Marie afin qu’elle n’accomplisse plus la prière dans la solitude ou parmi les femmes mais en s’unissant et en se mêlant aux hommes. Le verset de l’élection de Marie « Marie, Dieu t'a élue et t'a purifiée : II t'a élue sur les femmes des univers » [30] a également donné naissance à une exégèse abondante. Un certain nombre de commentateurs, comme al-Qurṭubī et al-Âlûsî, ont considéré l’élection de Marie comme une invitation à atteindre la complétude, l’exhaustivité ou la totalité. C’est, finalement, la caractéristique des prophètes élus par le Seigneur pour atteindre ce statut et certains exégètes ont affirmé qu’Âsiya elle-même, l’épouse de Pharaon, était prophétesse. D’ailleurs, en lisant bien les versets coraniques relatifs à Marie, on constate que cette femme réalisée et accomplie a même été supérieure à au moins un homme, le prophète Zacharie, qui a pris modèle sur elle, sur sa confiance totale et sa dévotion hors du commun envers son Seigneur : « …Elle avait déclaré véridiques les paroles de son Seigneur ainsi que Ses Livres : elle se trouva parmi les orants » [31] car elle ne demande pas de signe lorsqu’on lui annonce la nouvelle contrairement à Zacharie, « Ô mon Seigneur, dit (Zacharie), accorde-moi un signe… » [32], et c’est pour cette raison que Marie est aussi qualifiée par Dieu de Siddîqa (véridique).
 
 

Conclusion

Les avis qui veulent établir l’interdiction absolue du magistère féminin dans le culte musulman n’ont pas de fondements théologiques solides. Aucun argument émanant du Coran ni de la sunna ne peut être sérieusement avancé pour invalider ou rendre illicite l’imamat des femmes.

 Le message coranique n’est pas structurellement anti-féminin, il reflète les traditions d’une société du VIIe siècle dont il est venu réformer certaines pratiques patriarcales inhumaines. Citons les pratiques de féminicide des nouveaux-nés ou des règles d’héritage dont les femmes étaient l’objet et non le sujet. À cet égard, nous ne pouvons que constater les avancées clairement favorables aux femmes apportées par l’islam. Ce qui pose problème aujourd’hui, ce sont les lectures patriarcales faites par des hommes ayant évolué dans des traditions misogynes où le rôle de la femme se limite à la sphère domestique. Malgré les avancées de justice sociale que l’avènement de l’islam a commencé à instaurer, nous ne pouvons aujourd’hui que déplorer la régression de la norme religieuse dans ce domaine, elle s’est malheureusement beaucoup éloignée de l’esprit de progrès initié par le message coranique. Le patriarcat exerce une véritable discrimination, pour ne pas dire une violence interprétative, aboutissant à une mutilation des aspects essentiels du message de l’islam. Par patriarcat, j’entends ce conglomérat formé de représentations et de croyances nées des relations sociales, économiques, idéologiques et culturelles qui prennent leur source dans la croyance en l'infériorité ou la subordination des femmes aux hommes. Le discours patriarcal soutient que les capacités des femmes sont limitées par rapport à celles des hommes et il considère qu'en raison de leurs caractéristiques biologiques spécifiques, les femmes ont été exclusivement prévues pour la maternité et les travaux ménagers. L’homme, quant à lui, aurait la capacité d’agir comme chef de famille et d’occuper l’espace public. Le patriarcat est un logocentrisme idéologique qui n’a rien de naturel. Il contrevient à la volonté divine d’établir une justice cosmologique basée sur la parfaite corrélation des forces masculines et féminines, actives et passives qui régissent l'ordre de la création.

La lecture du Coran à travers le prisme patriarcal a abouti au démantèlement de l'anthropologie coranique, de son message éthique et de la vision égalitaire du monde. Elle a maintes fois nié les principes de justice et d’écologie humaine du Coran. Il n’y a pas eu besoin d’attendre l’arrivée de la modernité et du colonialisme pour que cette désarticulation ait lieu. Il a suffi de laisser le Coran entre les mains de « gardiens de la tradition » qui ont tenté de le réduire à un livre de règles ou à un « mode d’emploi » auquel les masses musulmanes doivent une obéissance aveugle. Ils ont nié son caractère de révélation divine destinée à chaque être humain sans aucune distinction de genre. Ce texte sacré pourrait être interprété comme le meilleur instrument de lutte contre le patriarcat et la discrimination qu’il engendre, à condition que les femmes aient la conviction profonde qu’elles sont complètement et entièrement légitimes à s’approprier la question théologique avec leurs égaux et frères, les hommes.
 
 
 
 
 
 
Réponse d'Hicham dans ce lien :
 
 
 
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Salam Aleykoum mon Cher Frère Hicham.

Salam Aleykoum mes chers Frères et chères Sœurs.

 

Barakallahoufik, ma chère Sœur Khadija, pour ce poste.

 

Qu’est-ce que ça veut dire « Islam de France » ? Il n’y a qu’un seul Islam chez Dieu et il vaut pour toute la communauté quelque soit l’endroit où se trouve un croyant. Et l’Islam (la Soumission à Dieu) existe depuis Adam (a.s).

 

Pourquoi cette invention d’islam de France ? C’est comme pour les mosquées.

Il y a les mosquées algériennes, marocaines, turques, sénégalaises… Astaghfirullah ! Astaghfirullah ! Astaghfirullah !

 

Il n’y a que les mosquées de Dieu (s.w.t). Rien d’autre auprès de Dieu (s.w.t). Que les gens arrêtent d'associer des pays ou des nationalités aux mots mosquées et islam.

 

Des femmes intelligentes dans notre communauté, il y en a beaucoup. Des femmes qui cherchent à se rapprocher de Dieu (s.w.t) et étoffer sa spiritualité, la communauté en compte en grand nombre.

Donc le débat n’est pas de savoir si une femme peut atteindre un haut degré de spiritualité auprès de Dieu (s.w.t). Prenez le cas de la sainte Rabi’a.

 

Cette femme dit que les religieux ont confisqué le débat et l’ont dirigé uniquement vers l’homme.

Or, les religieux ont menti, autant aux hommes qu’aux femmes, en affirmant qu’ils étaient les seuls à saisir le Coran.

Nous, hommes et femmes, n’étions cantonnés qu’à Boukhari et compagnie.

 

Les savants ont suivi les insufflations maléfiques du diable d’où la pagaille dans notre communauté.

 

Mais décider de manière unilatéralement que le voile n’est pas nécessaire pour la prière et que la femme dirige la salât, je ne sais pas où elle arrive à trouver des justifications dans le Coran. Bientôt, ils vont expliquer qu’il n’y a plus qu’une seule prière obligatoire.

 

Tout est la propriété de Dieu (s.w.t). La création appartient à Allah (s.w.t). Les Injonctions Divines sont le champ exclusif de Dieu (s.w.t).

Alors qu’elle m’explique pourquoi elle se trouve dans ce champ (Injonctions Divines) ?

 

Si je venais dans sa propriété et je décidais de changer la décoration, changer la configuration des pièces, de déraciner les arbres, de casser des murs dans son chez soi, je pense qu’elle n’appréciera pas.

Chez elle c’est chez elle. Quand on accepte l’islam, nous sommes chez Dieu (s.w.t), nous sommes ses invités et donc nous acceptons ses règles. Et on ne fait pas n’importe quoi lorsque nous sommes chez autrui.

 

Pour Marie (a.s), elle est une très grande Femme, tout comme la Fille du Prophète. Et elles étaient intelligentes et obéissantes au Tout Puissant (s.w.t) mais cette femme suit ces passions tout comme les religieux qu’elle critique. Je lui conseille de prendre exemple sur elles (Marie (a.s) et Fatima (a.s)).

 

Que Dieu (s.w.t) te bénisse, cher Frère Hicham (a.s).

Que Dieu vous bénisse, chers Frères et chères Sœurs.

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Salam Alaykoum,

 

Je m'excuse madame mais qui vous a nommez imama ? Ou avez-vous étudiez et passez votre diplôme ?

 

Dans la même école islamique que monsieur Chalgoumi certainement ...

 

A chaque fois que les médias mettent en avant un ou une musulmane auto-proclamé porte parole, ont dirait qu'ils les recrutent à la foire du Trône, non ?

 

Déjà avant de prétendre être une imam, c'est à dire un guide, il faudrait peut-être commencer par respecter les lois de Dieu (swt) en montrant l’exemple et non pas de les enfreindre parce-que la, c'est mal barré !

 

Ensuite elle nous tire de sont chapeau que c'est Marie Christine et Anne Sophie, en jeans, diplômé en cap coiffure qui vont diriger la prière, puis que Marie était une prophète, puis qu'il faut que la Femme se libère et s'épanouisse, en langage clair : Affranchissez vous des lois de Dieu (swt) moyenâgeuse !


Merci pour ces précieux conseils madame l'imam avec ça c'est sur on ira direct au paradis inchallah.

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Il y a 21 heures, Khadija a dit :

As salam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakathou Cher Messager d'Allah Hicham,

Mes Chers Frères et Sœurs,

 

pour rester dans les aberrations, voici un autre fait " de société " : L'Islam des Féministes !

... Je crois qu'on touche le fond ! ...

 

 

Salem alaykoum,

Mon cher frère Hicham (as),

Mes frères et soeurs,

Merci ma chère soeur Khadija d'avoir posté cette video qui me laisse sans voix. Ont n'est pas au bout de nos peines.

Que dieu (swt) te bénisse ma chère soeurs Khadija,

Que dieu (swt) te bénisse mon frère Hicham (as),

Que dieu (swt) vous bénissent mes frères et soeurs ainsi que tous vos proche inchalah.

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As salam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakathou Cher Messager de Dieu Hicham, 

Mes chers Frères et Sœurs, 

 

 Pour étoffer le sujet, voici une femme féministe, prête à remettre en cause des versets Coraniques , argumentant qu'ils sont mal interprétés et hors contexte...

 

 

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  • 1 mois après...
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As salam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakathou Cher Prophète d'Allah Hicham ,

Mes Chers Sœurs et Frères,

 

Voici le témoignage d'une femme qui dénonce l'imposture de la " libération de la femme" et de la parité homme-femme,

Expliquant que ce nouveau schéma sociétal est mis en place pour casser et désacraliser les relation homme/femme , l'amour et le modèle religieux qui préserve ce modèle patriarcal...

 

 

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