Un véritable essaim de variants de Covid-19 se dirigera droit sur nous.

[Hicham]

Le 01/12/2015 à 03:39, Hicham a dit :

Salam aleykoum,

 

Mes frères et Sœurs,

 

Je vous écris ces quelques lignes à chaud.

 

J'étais à l'étage d'un immeuble, sur une terrasse. Puis, mon regard fut attiré en direction du ciel, par un bruit d'avion. C'était ce qu'il y avait de plus banal, un avion de ligne.

 

Au moment où j'allais arrêter de regarder en sa direction, je fus attiré par un détail étrange : 

 

Je vis quelque chose dans le ciel, qui semblait être de la traînée de poussière et qui paraissait suivre l'avion.

 

Puis, un peu plus tard, je regardais dans une autre direction du ciel. Je vis au loin, une nuée impressionnante de pierres de toutes tailles, telles de grandes colonies d'oiseaux, qui se dirigeaient vers nous.

 

Je disais à haute voix : "C'est le châtiment de Dieu, la fin de notre civilisation."

 

Je descendis rapidement de l'immeuble, avec ceux qui étaient avec moi dans l'appartement.

Ce n'était pas un lieu rassurant, au vu de ce qui se passait, et je pris soins de prendre mon blouson, car le climat devenait menaçant.

 

En bas de l'immeuble, sur une butée de pelouse, une connaissance, jadis septique de mes avertissements et de la religion en générale, était là sans savoir ce qui se tramait au-dessus de sa tête.

 

Je lui fis signe pour qu'elle observe le ciel. Choquée, elle me dit, en secouant la tête de droite à gauche :

"Là c'est la fin, c'est fini !"

 

Puis, les pierres du ciel arrivèrent à notre hauteur. Elles couvraient la lumière du Soleil, comme le font les nuages qui assombrissent le paysage. Puis, certaines commencèrent à tomber, et atteignirent les habitations, les détruisant, et les mettant en feu.

 

J'entendis les gens crier et fuir de partout. Je leur dis : "Priez, priez !"

 

Puis, une voix intérieure me parla, c'était Dieu (swt), le Maître de l'univers.

Dieu (swt) fit descendre Sa Sakina sur mon cœur, et je fus apaisé. 

 

Et je dis : "Ô Dieu, épargne ceux qui seront avec moi !"

Je me mettais à Lui citer leurs noms, dont certains étaient de ma famille, des gens du site, ceux qui m'ont suivi ...

 

Et au fond de moi, je savais que Dieu (swt) allait sauver tous ceux qui étaient avec moi.

 

Puis, au milieu de ce déluge météorique, il y eut un écran blanc, qui nous protégea.

 

 

A ce moment précis, je sortis de la vision.

 

 

Citation

 

Salam alaykoum mes Frères et Sœurs,

 

La vision du Prophète Joseph était qu’il interpréta les astres dans le ciel, comme des êtres vivants, et dont l’interprétation ne lui fut dévoilée que quelques années après.

 

Concernant ma vision (citée ci-dessus), l'essaim de pierres venant du ciel, peut représenter aussi des êtres vivants (virus), venant sur nous.

 

Alors, c’est notre fin à tous. Attendez-vous prochainement à la fin de l’humanité.

 

Et si ceci est le châtiment Divin, alors, personne ne pourra l’arrêter.

 

 

 

 

Salam, Shalom, Paix,

 

La situation devient de plus en plus incontrôlable, avec un essaim de 92 variants qui arrive droit sur nous du Brésil, et plusieurs autres centaines de variants, prochainement à travers le monde.

 

Cela me fait rappeler la vision que j’ai posté plus haut, où Dieu me montra qu’une calamité (catastrophe) viendra s’abattre sur le monde. Et je disais : " Là, c’est vraiment la Fin !"

 

Cette vision annonce ce que nous allons subir prochainement.

 

 

 

                        ————-———————————

 

Le Brésil est "devenu une usine à variants du Covid-19"

 

Alors que la France a annoncé mardi la suspension de tous les vols avec le Brésil, la situation sanitaire du pays sud-américain ne cesse de se détériorer : 92 variants du coronavirus y ont été identifiés, faisant du pays une véritable usine à mutations. Une menace qui pourrait annihiler tous les efforts de vaccination.

 

 

 

 

Le constat est brutal. Le Brésil vit une "catastrophe humanitaire" avec la crise du Covid-19, selon Médecins sans frontières, qui pointe du doigt un coupable : "l'absence de volonté politique" des autorités brésiliennes, dépourvues de "réponse coordonnée et centralisée". "L'absence de volonté politique pour agir de manière adaptée face à cette pandémie est responsable de la mort de milliers de Brésiliens", a affirmé l'ONG dans un communiqué publié jeudi 15 avril.

Depuis quelques mois, la situation du coronavirus au Brésil "est complètement hors de contrôle", résume Fernanda Grassi, médecin infectiologue de Salvador de Bahia, dans un entretien à France 24.

En cause : la circulation active du variant P1, dit "brésilien", qui "est largement majoritaire ici, plus contagieux et mène à des cas plus graves que le variant dit classique. Donc, il y a plus de patients ayant besoin d’une hospitalisation", explique à France 24 la chercheuse à la Fondation Oswaldo Cruz (Fiocruz - l’équivalent de l’Institut Pasteur).

Depuis quelques mois, la population atteinte change également : selon le dernier bulletin de l'Observatoire du Covid-19, le nombre de morts a fait un bond de 353 % entre janvier et mars 2021 parmi la tranche d'âge 30-39 ans.

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>> À lire : Covid-19 au Brésil : les jeunes, cibles de choix pour le variant brésilien

Selon les experts, la baisse d’âge n’est pas qu’un fait du variant. "Certes, le P1 en est en partie responsable, mais n’oublions pas que les jeunes sont aussi les plus exposés actuellement : ce sont surtout eux qui ont besoin de travailler, et qui parfois sentent le besoin de sociabiliser. D’autant plus sans mesures de restriction coordonnées au niveau national", précise Fernanda Grassi.

Au moins 92 variants en circulation

Pourtant la situation peut encore empirer, d'après Fernanda Grassi. Car "le Brésil est devenu une véritable usine à variants", regrette-t-elle.

Au-delà du variant P1, l’Institut Fiocruz a identifié 92 autres mutations du coronavirus en circulation au Brésil, selon une étude publiée mardi 13 avril. "Les mutations ont lieu quand on a un taux de transmission fort" : le phénomène, "normal lors d’une épidémie", débute lorsqu’un virus passe d’une personne à l’autre et "crée des mutations aléatoires dans son code génétique", poursuit-elle.

Dans le cas brésilien, où "le virus circule librement, on a une probabilité de voir apparaître beaucoup de nouveaux variants", explique l’infectiologue. Selon elle, le "chiffre de 92 est sûrement sous-estimé, car on ne fait pratiquement pas de séquençage".

Selon la chercheuse, le variant P1 n’a été lui-même officiellement identifié qu’en janvier au Japon chez des voyageurs en provenance de l’État de l’Amazonas. Pourtant, il "circulait au moins depuis décembre", explique-t-elle. En janvier, il représentait déjà 73 % des infections à Manaus, capitale de l’État, pour ensuite atteindre deux mois plus tard 73 % des infections nationales, selon les données de Fiocruz.

"Des mutations résistantes aux vaccins peuvent apparaître"

Comme pour ce dernier et pour le variant dit "britannique", ces mutations deviennent dangereuses notamment "lorsqu’elles sont plus contagieuses et finissent par s’imposer", résume la médecin-chercheuse.

D’autant que l’apparition de nouveaux variants peut balayer d’un revers de main toute la campagne de vaccination. Pourquoi ? Car dans l’une de ces mutations, le virus peut finir par se renforcer et devenir insensible à certains vaccins. En février, l'Afrique du Sud a suspendu l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, qui s’est révélé efficace à seulement 22 % contre le variant sud-africain.

"Pour l’instant, les vaccins disponibles s’attaquent bien au variant P1. Mais des nouvelles mutations résistantes peuvent très bien apparaître", s’inquiète Fernanda Grassi.

Le riche État de São Paulo manque de sédatifs

Résultat : en 10 jours, le pays enregistre une moyenne quotidienne d'environ 3 000 décès dus au Covid-19, dépassant régulièrement les 4 000 victimes. Selon MSF, rien que dans "la semaine du 5 avril, 11 % des nouvelles infections au Covid-19 dans le monde étaient enregistrées au Brésil, ainsi que plus d'un quart des décès".

En un peu plus d’un an, l’épidémie a fait plus de 360 000 morts dans le pays sud-américain, faisant de lui le deuxième plus endeuillé au monde après les États-Unis.

Pis, dans l'État de São Paulo, le plus riche et pourvu du système hospitalier le plus moderne du pays, les centres de santé sont désormais au bord de l’effondrement : à partir du vendredi 16 avril, les établissements pourraient manquer de médicaments nécessaires aux intubations et ne pourront plus soigner les patients atteints d'une forme grave du Covid-19, selon une lettre transmise au gouvernement fédéral rapportée par le quotidien Folha de São Paulo.

Selon les autorités locales, 68 % des centres de santé du réseau de la métropole utilisent déjà des médicaments "alternatifs" moins modernes pour combler le manque, et 61 % d'entre eux avaient épuisé leurs stocks de sédatifs.

Dans le reste du pays, la situation est tout aussi dramatique. "Pratiquement partout (…) le système de santé s’est effondré", a déploré Paulo Menezes, épidémiologiste à l’Université de São Paulo (USP) dans un entretien au Monde. Dans la plupart des 22 États brésiliens, le taux d’occupation des services de soins intensifs dépasse les 90 %.

Manque de vaccins

Le résumé de la semaineFrance 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaine

Je m'abonne 

Face à une telle situation, les autorités locales misent tout sur la vaccination. Selon le consortium de presse qui compile les données quotidiennes de l’épidémie,15 % des Brésiliens ont reçu une première dose d’un vaccin contre le Covid-19, et 5 % la deuxième.

Le pays utilise majoritairement le vaccin CoronaVac, produit par l’Institut de recherche médical Butantan de São Paulo en partenariat avec le laboratoire pharmaceutique chinois Sinovac, ainsi qu’AstraZeneca. En raison de la contrainte liée à la chaîne du froid nécessaire à son stockage, le vaccin de Pfizer y est absent, alors qu’il "s’est montré le plus efficace contre tous les variants", déplore Fernanda Grassi.

Depuis quelques semaines, le pays doit faire face à une grande pénurie de doses. La vaccination a été arrêtée, mercredi 14 avril, dans trois métropoles du pays, selon le site d’informations G1, dont Salvador, où Fernanda Grassi habite. "Donc maintenant, nous avons un non seulement un virus complètement hors de contrôle, mais surtout un système de santé qui s’effondre… et bientôt pas de vaccins", martèle-t-elle.

Face à la situation brésilienne, la France a annoncé mardi 13 avril la suspension des vols avec le pays sud-américain. Officiellement jusqu’au 19 avril, la mesure pourrait s’étendre au-delà, car Paris va présenter lundi de nouvelles restrictions pour les voyageurs des pays où, à l'instar du Brésil, "un variant particulièrement à risque est dominant", a annoncé le porte-parole du gouvernement français Gabriel Attal.

► À lire aussi : Une image "emblématique" de la pandémie de Covid-19 primée par le World Press Photo

https://www.france24.com/fr/amériques/20210416-le-brésil-est-devenu-une-usine-à-variants-du-covid-19

[Paix interieure]

Salam Aleykoum mon Cher Frère Hicham (a.s).

Salam Aleykoum, mes Frères et Sœurs en Dieu.

 

Barakallahoufik, cher Frère Hicham (a.s), pour cet article et aussi pour le rappel de ta vision véridique.

 

Nous y sommes il n’y a pas de doute à avoir sur la fin de ce monde et la disparition des humains. 92 variants du virus c’est juste énorme. En plus, il est mentionné dans l’article que ce chiffre est sous estimé.

 

Il y a bien des signes dans ce qui se passe actuellement pour des gens qui réfléchissent et méditent.

 

C’est aussi un grand avertissement à l’humanité. Un virus a mis à genoux tous les états du monde ainsi que leurs économies. Et je ne vous parle même pas des campagnes de vaccination qui seront vite obsolètes au vue du nombre de variants qui augmente au fil du temps et qui peuvent se retrouver partout sur le globe.

 

Que les gens reviennent à Dieu (s.w.t) et suivent Son Elu, le Messager de Dieu (a.s).

 

Que Dieu (s.w.t) nous protège ainsi que nos familles de cette calamité.

 

Que Dieu (s.w.t) te bénisse, cher Frère Hicham (a.s).                               

Que Dieu vous bénisse, chers Frères et chères Sœurs en Dieu.

[hicham2]

Salam Alaykoum RassoulAllah, mes frères et sœurs, 

 

 

Baraka Allahou fik RassoulAllah, ta grande vision que tu as eu est très véridique. 

 

Dans l'article que tu as proposé, il y a un paragraphe très intéressant, en le résumant personnellement, ce qui nous attend va être terrible car les variants au Brésil à force de s'accumuler vont finir par être beaucoup plus redoutable à combatre donc les chercheurs de vaccins n'auront pas le choix de trouver d'autres formules encore plus efficaces que actuellement.

Mais la question se pose, qui va gagner, les variants ou les vaccins.

La réponse est que cette calamité est Divine alors personne ne pourra rien faire car il n'y a de force et puissance qu'en Dieu (swt).

La preuve, aux USA, certaines qui ont été vacciner ont malheureusement contracter le virus et sont mortes. 

Et ce n'est que le début. 

 

https://www.google.com/amp/s/amp.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/etats-unis-covid-19-malgre-la-vaccination-massive-une-reprise-de-l-epidemie-a-lieu-dans-le-pays-f3f3b380-977d-11eb-88fe-d7588d2aa6f7

 

 

https://www.fr24news.com/fr/a/2021/04/les-etats-unis-enregistrent-5800-cas-de-covid-et-74-deces-chez-des-americains-entierement-vaccines.html

 

Que Dieu (swt) vous bénisse.

[zaara]

Assalam Aleikoum Messager de Dieu et mes frères et soeurs,

 

Merci Messager de Dieu pour le partage de ces articles.

Nous sommes dépourvus face à ce virus et ces variants qui s'en cesse deviendront de plus en plus agressifs et dangereux pour les humains.

 

Que Dieu Swt nous protège ainsi que nos familles.

 

 

 

 

[Tounka]

Le 17/04/2021 à 15:45, Hicham a dit :

Salam Shalom, Paix.

 

La situation devient de plus en plus incontrôlable avec un essaim de 92 variants qui nous arrive droit sur nous, du Brésil, et plusieurs centaines de variant prochainement à travers le monde.

 

Cela me fait rappeler la vision que j’ai posté plus haut, une calamité, Ou Dieu me montra qu’une calamité (catastrophe) qui viendra s’abattre sur le monde. Et je disais , la c’est vraiment la Fin.

 

Cette vision annonçait  ce que nous allons subir prochainement.

 

 

 

                        ————-———————————

 

Le Brésil est "devenu une usine à variants du Covid-19"

 

Alors que la France a annoncé mardi la suspension de tous les vols avec le Brésil, la situation sanitaire du pays sud-américain ne cesse de se détériorer : 92 variants du coronavirus y ont été identifiés, faisant du pays une véritable usine à mutations. Une menace qui pourrait annihiler tous les efforts de vaccination.

 

 

 

 

Le constat est brutal. Le Brésil vit une "catastrophe humanitaire" avec la crise du Covid-19, selon Médecins sans frontières, qui pointe du doigt un coupable : "l'absence de volonté politique" des autorités brésiliennes, dépourvues de "réponse coordonnée et centralisée". "L'absence de volonté politique pour agir de manière adaptée face à cette pandémie est responsable de la mort de milliers de Brésiliens", a affirmé l'ONG dans un communiqué publié jeudi 15 avril.

Depuis quelques mois, la situation du coronavirus au Brésil "est complètement hors de contrôle", résume Fernanda Grassi, médecin infectiologue de Salvador de Bahia, dans un entretien à France 24.

En cause : la circulation active du variant P1, dit "brésilien", qui "est largement majoritaire ici, plus contagieux et mène à des cas plus graves que le variant dit classique. Donc, il y a plus de patients ayant besoin d’une hospitalisation", explique à France 24 la chercheuse à la Fondation Oswaldo Cruz (Fiocruz - l’équivalent de l’Institut Pasteur).

Depuis quelques mois, la population atteinte change également : selon le dernier bulletin de l'Observatoire du Covid-19, le nombre de morts a fait un bond de 353 % entre janvier et mars 2021 parmi la tranche d'âge 30-39 ans.

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>> À lire : Covid-19 au Brésil : les jeunes, cibles de choix pour le variant brésilien

Selon les experts, la baisse d’âge n’est pas qu’un fait du variant. "Certes, le P1 en est en partie responsable, mais n’oublions pas que les jeunes sont aussi les plus exposés actuellement : ce sont surtout eux qui ont besoin de travailler, et qui parfois sentent le besoin de sociabiliser. D’autant plus sans mesures de restriction coordonnées au niveau national", précise Fernanda Grassi.

Au moins 92 variants en circulation

Pourtant la situation peut encore empirer, d'après Fernanda Grassi. Car "le Brésil est devenu une véritable usine à variants", regrette-t-elle.

Au-delà du variant P1, l’Institut Fiocruz a identifié 92 autres mutations du coronavirus en circulation au Brésil, selon une étude publiée mardi 13 avril. "Les mutations ont lieu quand on a un taux de transmission fort" : le phénomène, "normal lors d’une épidémie", débute lorsqu’un virus passe d’une personne à l’autre et "crée des mutations aléatoires dans son code génétique", poursuit-elle.

Dans le cas brésilien, où "le virus circule librement, on a une probabilité de voir apparaître beaucoup de nouveaux variants", explique l’infectiologue. Selon elle, le "chiffre de 92 est sûrement sous-estimé, car on ne fait pratiquement pas de séquençage".

Selon la chercheuse, le variant P1 n’a été lui-même officiellement identifié qu’en janvier au Japon chez des voyageurs en provenance de l’État de l’Amazonas. Pourtant, il "circulait au moins depuis décembre", explique-t-elle. En janvier, il représentait déjà 73 % des infections à Manaus, capitale de l’État, pour ensuite atteindre deux mois plus tard 73 % des infections nationales, selon les données de Fiocruz.

"Des mutations résistantes aux vaccins peuvent apparaître"

Comme pour ce dernier et pour le variant dit "britannique", ces mutations deviennent dangereuses notamment "lorsqu’elles sont plus contagieuses et finissent par s’imposer", résume la médecin-chercheuse.

D’autant que l’apparition de nouveaux variants peut balayer d’un revers de main toute la campagne de vaccination. Pourquoi ? Car dans l’une de ces mutations, le virus peut finir par se renforcer et devenir insensible à certains vaccins. En février, l'Afrique du Sud a suspendu l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, qui s’est révélé efficace à seulement 22 % contre le variant sud-africain.

"Pour l’instant, les vaccins disponibles s’attaquent bien au variant P1. Mais des nouvelles mutations résistantes peuvent très bien apparaître", s’inquiète Fernanda Grassi.

Le riche État de São Paulo manque de sédatifs

Résultat : en 10 jours, le pays enregistre une moyenne quotidienne d'environ 3 000 décès dus au Covid-19, dépassant régulièrement les 4 000 victimes. Selon MSF, rien que dans "la semaine du 5 avril, 11 % des nouvelles infections au Covid-19 dans le monde étaient enregistrées au Brésil, ainsi que plus d'un quart des décès".

En un peu plus d’un an, l’épidémie a fait plus de 360 000 morts dans le pays sud-américain, faisant de lui le deuxième plus endeuillé au monde après les États-Unis.

Pis, dans l'État de São Paulo, le plus riche et pourvu du système hospitalier le plus moderne du pays, les centres de santé sont désormais au bord de l’effondrement : à partir du vendredi 16 avril, les établissements pourraient manquer de médicaments nécessaires aux intubations et ne pourront plus soigner les patients atteints d'une forme grave du Covid-19, selon une lettre transmise au gouvernement fédéral rapportée par le quotidien Folha de São Paulo.

Selon les autorités locales, 68 % des centres de santé du réseau de la métropole utilisent déjà des médicaments "alternatifs" moins modernes pour combler le manque, et 61 % d'entre eux avaient épuisé leurs stocks de sédatifs.

Dans le reste du pays, la situation est tout aussi dramatique. "Pratiquement partout (…) le système de santé s’est effondré", a déploré Paulo Menezes, épidémiologiste à l’Université de São Paulo (USP) dans un entretien au Monde. Dans la plupart des 22 États brésiliens, le taux d’occupation des services de soins intensifs dépasse les 90 %.

Manque de vaccins

Le résumé de la semaineFrance 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaine

Je m'abonne 

Face à une telle situation, les autorités locales misent tout sur la vaccination. Selon le consortium de presse qui compile les données quotidiennes de l’épidémie,15 % des Brésiliens ont reçu une première dose d’un vaccin contre le Covid-19, et 5 % la deuxième.

Le pays utilise majoritairement le vaccin CoronaVac, produit par l’Institut de recherche médical Butantan de São Paulo en partenariat avec le laboratoire pharmaceutique chinois Sinovac, ainsi qu’AstraZeneca. En raison de la contrainte liée à la chaîne du froid nécessaire à son stockage, le vaccin de Pfizer y est absent, alors qu’il "s’est montré le plus efficace contre tous les variants", déplore Fernanda Grassi.

Depuis quelques semaines, le pays doit faire face à une grande pénurie de doses. La vaccination a été arrêtée, mercredi 14 avril, dans trois métropoles du pays, selon le site d’informations G1, dont Salvador, où Fernanda Grassi habite. "Donc maintenant, nous avons un non seulement un virus complètement hors de contrôle, mais surtout un système de santé qui s’effondre… et bientôt pas de vaccins", martèle-t-elle.

Face à la situation brésilienne, la France a annoncé mardi 13 avril la suspension des vols avec le pays sud-américain. Officiellement jusqu’au 19 avril, la mesure pourrait s’étendre au-delà, car Paris va présenter lundi de nouvelles restrictions pour les voyageurs des pays où, à l'instar du Brésil, "un variant particulièrement à risque est dominant", a annoncé le porte-parole du gouvernement français Gabriel Attal.

► À lire aussi : Une image "emblématique" de la pandémie de Covid-19 primée par le World Press Photo

https://www.france24.com/fr/amériques/20210416-le-brésil-est-devenu-une-usine-à-variants-du-covid-19

Salam alaykoum,

 

Est-ce que cette vision de pierres venant du ciel est  en lien avec la sourate 44, la Fumée ? Ce qui voudrait dire que le véritable sens de ces versets est qu'il désigne le virus et ses nombreux variants ? Barak Allahou fik

 

Que Dieu nous protège et fortifie nos cœurs.

[Tounka]

il y a 1 minute, Tounka a dit :

Salam alaykoum,

 

Est-ce que cette vision de pierres venant du ciel est  en lien avec la sourate 44, la Fumée ? Ce qui voudrait dire que le véritable sens de ces versets est qu'il désigne le virus et ses nombreux variants ? Barak Allahou fik

 

Que Dieu nous protège et fortifie nos cœurs.

9. Mais ces gens-là, dans le doute, s'amusent.

10. Et bien, attends le jour où le ciel apportera une fumée visible

11. qui couvrira les gens. Ce sera un châtiment douloureux.

12. "Seigneur, éloigne de nous le châtiment. Car [à présent] nous croyons".

13. D'où leur vient cette prise de conscience alors qu'un Messager explicite leur est déjà venu,

14. Puis ils s'en détournèrent en disant: "C'est un homme instruit [par d'autres], un possédé".

15. Nous dissiperons le châtiment pour peu de temps; car vous récidiverez.

16. Le jour où Nous userons de la plus grande violence et Nous Nous vengerons.

[Ahmed-2]

Salem Alaykoum, Shalome, Paix,

Noble prophète (sws) d’Allah (swt), Hicham,

Ma famille de l’arche béni,

 

Barakallahoufik mon cher frère Hicham (sws) pour le partage de ces article, et le rappel de tes visions.

Nul doute, nous y sommes, et nous devons nous y préparer, tout en continuant de chercher la protection auprès du tout puissant (swt). Un variant ça aller pour eux, 92 qu’est ce qu’il vont nous pondre face à ça ?

Et le chiffre est loin de la réalité, je pense.

Que Dieu (swt) nous préserve de tous mal ainsi que nos proches Incha’Allah.

 

Que Dieu (swt) vous bénisse, et vous protège, ainsi que vos proches Incha’Allah.

[Mag]

Que Dieu nous guide et nous protège 

Amin

[Khadija]

As salam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakathou Noble Prophète d'Allah Hicham, 

Mes Sœurs et Frères, 

 

 C'est vraiment très grave ce qui nous attend ...

Les médias essayent de tenir la population en dédramatisant la situation et en miroitant qu'un jour tout reviendra à la normale,

Mais la plupart des gens ont bien compris que plus le temps passe et plus ces espoirs disparaissent. 

 

Comme vous l'avez mentionné dans vos prophéties,

la pauvreté s'accroît, les gouverneurs deviennent impuissants face à ce grand fléau. Et nous risquons de basculer dans une insécurité grandissante, voir une guerre civile.

 

 

Que Dieu vienne à notre secours et nous protège de Sa colère et de Ses châtiments.  Amine.

[Chahid]

Paix sur toi frère Hicham, Messager de L’Eternel, Paix sur vous mes sœurs et frères.

 

Que L’Eternel te récompense frère Hicham de la meilleure des récompenses.

 

 

Il y a une chose qui a toujours été imposée à l’humanité encore plus à l’époque moderne. 
 

A partir de celle-ci les gens ne voient plus ce qui se passe autour, ils deviennent peu ou pas plus du tout sensible à leur environnement. 
 

Il se coupent de la création et ne se préoccupent pas de ses bouleversements et sa détérioration. 
 

Ils se rassurent en se disant ce n’est qu’un cycle et que les choses vont s’améliorer comme toujours , comment peut-on allier :

 

- l’Intérêt d’une minorité supérieure à la majorité 

- Croissance infinie avec des ressources finies 

- Bonheur, richesse d’une minorité au détriment du Malheur, pauvreté de la majorité 

- Inventions et constructions avec destructions de la nature et toute sa biodiversité. 
 

il y a tellement d’exemple à cette servitude volontaire à ce principe sur lequel tout est bâti. 
 

Ce principe est la confrontation entre la fin du mois et la fin du monde. L’instantanéité  et un futur lointain. 
 

On peut le retourner dans tous les sens, ce fameux principe qui fait que l’insouciance du monde qui s’effrite et s’effondre s’efface pour un aveuglement matérialiste qui rassure et qui donne l’illusion d’être protégé de la fin d’un modèle, la fin d’une société qui abuse et a abusé qui veut se maintenir par tous les moyens. A l’image d’un monstre agonisant. 
 

Il n’y a que les sages et les doués d’intelligences  qui voient que rien ne va plus et que cela ne présage rien de bon. 
 

Cela fait plus d’un an que nous vivons cette épreuve, après le choc du début, les gens se sont habitués,  cela est devenu normal sans en tirer les leçons qu’ils peuvent en tirer d’un tel événement planétaire.  A part les choses qui se sont imposés d’elles mêmes au niveau social, technologique.....

 

Ils espèrent voir la lumière au bout du tunnel si le changement planétaire ne s’effectue pas ce sont les ténèbres auxquelles ils auront droit sans pouvoir s’éclairer. 
 

Paix et bénédictions sur toi frère Hicham ainsi que ta famille et tes proches.

 

Que L’Eternel vous protège et vous garde dans son chemin face à toutes ces épreuves à venir. 
 

 

 

Paix.

 

 

[Yahya]

Salam Alaykoum ,

 

Tu a raison mon frère Chahid, l'humanité a était formaté et conditionné mais par contre, elle est responsable d'avoir nié l’existence divine et de ne faire aucun effort pour rechercher la vérité.

Elle est responsable d'étouffer cette lumière qui est inée en elle et de refuser d'écouter cette appel du Divin qui réside en chaque êtres humains.

 

Quand vous écoutez les gens qui parlent de la situation catastrophique que nous vivons, très peu d'entre-eux évoquent Dieu (swt) la plupart des gens se perdent dans des débats sans fin alors qu'il suffirait au monde de demander pardon à Dieu (swt) et de revenir à lui pour sortir de la situation dans laquelle nous sommes embourbé depuis bientôt 1 an maintenant.

 

Les choses n'iront pas en s'arrangeant si le monde reste dans son état actuel et ça pas grand monde ne semble le comprendre alors que faut-il pour que les gens se réveillent ?

 

Les mettre devant le fait accompli, au pied du mur pour qu'ils réalisent ?

 

Ou que tout redevienne comme avant pour qu'au final rien ne change car les gens pour la plupart ne changeront pas à moins d'un puissant électrochoc qui s'enchaineront sous formes d'événements.

 

Nous vivons les temps de l'apocalypse (révélation ), une erre messianique et le combat final du bien contre le mal.

 

C'est un devoir pour chacun de se réveiller et d'adorer Dieu (Swt), de porter secours à son Messager et de combattre les forces du mal.